Pour ça, je ne veux pas savoir, je ne veux pas gratter la rouille, je ne veux pas d’un nom qu’on ânonne pour le retenir et que la bouche avalera alors. Je ne veux pas connaître, je ne veux pas qu’une fonction bride les divagations. Je prends quatre photos et chacune suffira à provoquer une succession de fictions – histoires à prolonger jusqu’à faire du réel un de leurs copeaux. Ce qui se mêle aux possibles, quand restreindre coûte trop. Je ne veux pas délimiter, je ne veux pas suffire.